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Taündié

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Situé entre le tropique du Dragon au sud et le cercle polaire au nord, Taündié possède toutes sortes de climats et de reliefs, permettant de voyager des forêts chaudes aux steppes gelées, en passant par les marais et les montagnes. Bien entendu un tel voyage nécessite du temps et de la préparation, ainsi qu’un goût prononcé pour le danger car certaines contrées sont loin d’être accueillantes.

 

A l’ouest, la mer intérieure de Yajo baigne l’Empire de Xùh. Sa situation en fait une formidable plaque tournante pour le commerce.

Au centre de Taündié la chaîne des monts Horaga, dont certains sommet culminent à plus de dix mille mètres, isole la péninsule du Xéhang du reste du continent. A l’est de cette péninsule s’étend le Golfe d’Ahïr, tandis qu’à l’ouest se trouve la Mer de Foyos.

Vers l'orient, de l’autre coté du Golfe d’Ahïr, s’étendent les terres adamiakes d’Elaquol et l’immense forêt de Lukiros, royaume des Petits-Peuples.

Au nord se trouvent les rudes territoires des divalds, couverts de neige une grande partie de l'année et balayés par des vents furieux.

 

Ce sont les liérads qui peuplent la plus grande partie de Taündié : des pourtours de la Mer de Yajo aux rivages orientaux ils ont bâti de superbes villes et des grands royaumes. Ils ont mis au point des systèmes de gouvernements très élaborés et ont développé les arts et les sciences comme nul autre peuple sur le continent. Mais les liérads sont aussi un peuple qui, depuis des millénaires, ne cesse de se déchirer en guerres fratricides et en luttes de pouvoir.

 

Les terribles divalds, qui règnent en maître sur les terres du nord, n’ont certes pas acquis le même degré de civilisation que les liérads, mais sont un peuple qu’on ne peut que craindre ou respecter. Leur force physique et leurs instincts guerriers font d’eux les plus dangereux adversaires sur les champs de bataille de Taündié.

 

Il y a six siècles les adamiaks, venus en grand nombre de la lointaine Brézh, envahirent les territoires orientaux, que les liérads avaient durement conquis sur le Petit-Peuple. La guerre dura des décennies et ce fut finalement les adamiaks qui en sortirent vainqueurs. Ils réduisirent tous les liérads à l’esclavage et sacrèrent un des leurs comme souverain de ce nouveau royaume qu’il nommèrent Elaquol. Les adamiaks sont un peuple de paysans et de guerriers très proches de la nature. Ils vouent d’ailleurs une multitude de cultes à divers esprits et dieux des rivières, des forêts, des montagnes ou des vents. Ils élèvent en grands troupeaux d’énormes aurochs, dont ils se servent comme monture au combat.

 

Les brolëns sont les plus discrets de tous les habitants de Taündié. Leurs douze cités princières ne prirent jamais part à quelque conflit que ce soit et ont toujours résumé leur politique à des lois favorisant le commerce. Les marins brolëns jouent en effet un rôle capital dans l’économie du continent, car ils partent parfois pour des contrées très lointaines et en reviennent avec les cales chargées d’étoffes, gemmes, bois précieux épices et autres denrées rares qui font la joie de tous les gens en vue dans la haute société liérade. On dit que les princes brolëns vivent au milieu d’un mobilier d’or et de pierres précieuses tant leurs richesses se sont accumulées au fil des générations.

 

L'empire de Xùh

 

Le Xéhang

 

Les Vakneys

 

Les Monts Horaga

 

Körg

 

Le Sultlord

 

Le Lodgän

 

Elaquol

 

Les cités brolëns